Le père de la médecine moderne cite, dans deux chapitres de son ouvrage ‘On surgery and instruments’ le premier guide chirurgical illustré, la première partie d’une clitoridectomie. Il considère le clitoris comme une condition chirurgicale, une excroissance qui pourrait rendre un mari « incapable de posséder sa femme ». Non pas comme condition de pureté religieuse, mais plutôt comme correction d’une déformation en ce que le clitoris ressemble à un pénis.